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Biographie MR Poyet (texte issu du SNEPP)

Maurice-Raymond Poyet, est né en 1928, Son enfance se déroule près de Vichy. 

A 17 ans, trichant sur son âge, il s’engage dans l’armée de terre pour partir au combat en Indochine. Mais à son arrivée l’administration militaire s’aperçoit de la supercherie. Il est muté à l’infirmerie. C’est là que son histoire va commencer. Il accède, sur le tas, à la qualification d’infirmier et il découvre avec un vietnamien quelques rudiments de médecine énergétique chinoise. Cinq ans plus tard, en 1950, il rentre en France et trouve un poste d’infirmier à l’hôpital de Paray-le-Monial (71)et se forme à la Kinésithérapie. Il ouvrira un cabinet de masso-kinésithérapie à Paray-le-Monial où il exercera jusqu’en 1976. 
 

En 1975 la première école d’ostéopathie française voit le jour (avec en particulier parmi ses membres fondateurs un certain André Brunel), c’est le « Collège National d’Ostéopathie ». Qui sera renommé l’année suivante en « Institut W. G. Sutherland ». C’est là que Maurice Poyet se formera à l’ostéopathie, fera la connaissance d’André Brunel mais aussi, parmi les élèves, de Michel Magnaval. Il acquiert les techniques ostéopathiques de l’époque, du crânien très classique, le début du viscéral, des techniques structurelles. 
 
Toujours auprès d’André Brunel, et dans le même temps, il se forme à l’acupuncture, au

« Centre d’Acupuncture et d’Auriculothérapie ». 
Il revient alors à Cusset, sa ville d’origine, où il ouvre un nouveau cabinet pour pratiquer kinésithérapie et ostéopathie. A ce moment là, outre ce qu’il a appris, il a déjà une main de grande qualité et surtout une approche intuitivement très douce. 
En 1984, naît le "GROE" (Groupe de Recherche en Ostéopathie Energétique), école où Maurice Poyet va enseigner sa méthode avec la collaboration d'André Brunel et Michel Magnaval. Quelques temps après, Alain Calmettes vient les rejoindre, et le "GROE " deviendra "ARTHEMIS".
 
Maurice Poyet est au faîte de son activité, son cabinet tourne à plein, l’école prend de l’essor. C’est une véritable émulation pour lui. Il continue à progresser dans ses techniques, développe régulièrement de nouveaux outils. L’école est un lieu d’échange, de partages. Au cabinet, il vérifie, il confirme … 
Le décès prématuré de son fils en 1988 le plonge dans une souffrance dont il se protégera par un surcroît de travail … au détriment de sa santé.
 
Le 28 octobre 1996 Maurice Poyet s’éteint, laissant derrière lui une oeuvre aussi monumentale qu’originale

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